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Vaccins Covid : surmortalité dans l’hémisphère sud, surtout après 60 ans et plusieurs doses

Source : https://sentadepuydt.substack.com/p/vaccins-covid-surmortalite-dans-lhemisphere

COMMUNIQUE DE PRESSE :

La campagne de vaccination COVID-19 est responsable d’une mortalité excédentaire dans l’hémisphère sud

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Un article scientifique écrit par Prof Denis Rancourt, Dr Marine Baudin, Dr Joseph Hickey et Dr Jérémie Mercier publié dans un rapport de Correlation Research in the Public Interest (https://correlation-canada.org/covid-19-vaccine-associated-mortality-in-the-southern- hemisphere/) démontre après analyse de la mortalité toutes causes confondues de 17 pays équatoriaux et de l’hémisphère sud (à partir des chiffres du World Mortality Dataset) que :

1.

La campagne de vaccination COVID-19 est responsable d’une mortalité excédentaire dans l’hémisphère sud

Changement de régimes de mortalité avec la vaccination COVID-19

Dix-sept pays de l’hémisphère sud ou équatoriaux ont été analysés : Afrique du Sud, Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Suriname, Thaïlande, Uruguay.

La mortalité toutes causes confondues des pays non-équatoriaux suit des cycles saisonniers d’augmentation de mortalité l’hiver et de diminution de mortalité l’été, celle des pays équatoriaux ne connaît pas de saisonnalité. La présence ou l’absence de cycles saisonniers est par exemple visible depuis 2015 dans les graphiques ci-dessous pour le Brésil et pour les Philippines (courbes en bleu). Ces cycles (ou absence de cycles) sont réguliers et attendus d’une année à l’autre.

Contacts presse : Denis Rancourt : denis.rancourt@gmail.com ; Marine Baudin : marine@jeremie- mercier.com ; Joseph Hickey : jhick059@gmail.com ; Jérémie Mercier : bonjour@jeremie-mercier.com

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Cependant, dans 9 des pays étudiés (Australie, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Philippines, Singapour, Suriname, Thaïlande, Uruguay), un régime significativement plus élevé de mortalité s’installe de manière synchrone avec le déploiement de la vaccination COVID-19, alors qu’aucune mortalité excédentaire n’est observée entre la déclaration de pandémie par l’OMS le 11 mars 2020 et le début des campagnes de vaccination en 2021 pour ces pays.

Dans les 8 autres pays étudiés (Afrique du Sud, Argentine, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Pérou), où on détecte une mortalité excédentaire après l’annonce de la pandémie, la mortalité toutes causes confondues connaît une nouvelle augmentation avec le déploiement de la vaccination COVID-19.

La mortalité excédentaire pendant la période vaccinale (à partir de décembre 2020, de janvier ou février 2021 selon les pays, jusqu’à ce que les données s’arrêtent) au sein des 17 pays correspond à 1 745 000 décès.

Parmi les 17 pays étudiés, il n’existe aucun pays pour lequel la mortalité toutes causes confondues connaît une diminution significative après l’implémentation de la vaccination COVID-19.

[Dans les graphiques ci-dessus (page 2) :

  • La courbe bleue représente la mortalité toutes causes confondues (ACM pour All- Cause Mortality) par mois en milliers de personnes.
  • La courbe rouge représente la moyenne mensuelle mobile de mortalité sur 1 an (sur l’année venant de s’écouler) en milliers de personnes.
  • La courbe orange indique le nombre de vaccins COVID-19 administrés par semaine, en dizaines de milliers de doses (échelle Y à droite).
  • La ligne verticale grise correspond à la déclaration de pandémie faite par l’OMS le 11 mars 2020.]Pics anormaux de mortalité associés aux doses de rappelDes pics remarquables de mortalité sont observés avec le déploiement des doses de rappel des vaccins COVID-19 :

• Des pics inédits de mortalité sont observés en janvier-février 2022 – période correspondant à l’été dans les pays de l’hémisphère sud – et coïncident avec le déploiement des doses de rappel :

o Dans tous les pays étudiés présentant des données en 2022 (15 pays sur 17), au niveau national, tous âges confondus. Seuls l’Argentine et le Suriname n’ont pas de données de mortalité en 2022.

o En particulier au Chili où ces pics sont en parfaite synchronicité avec les 4ème doses de vaccins administrées chez les personnes âgées (60 ans et plus).

o En particulier au Pérou où ces pics apparaissent juste après les 3ème doses de vaccins administrées chez les personnes âgées (60 ans et plus).

3

  • Les pics saisonniers de mortalité en juillet-août 2021 (hiver au Chili) sont associés aux 3ème doses de vaccins administrées chez les personnes âgées au Chili.
  • Les pics saisonniers de mortalité en juillet-août 2022 (hiver au Pérou) sont associés aux 4ème doses de vaccins administrées chez les personnes âgées au Pérou.La mortalité toutes causes confondues par semaine (courbes en noir) de 2019 à 2022 ainsi que les vaccins administrés par semaine (courbes en bleu foncé pour toutes les doses et courbes en rose pour la 4ème dose (multipliée par 4)) sont visibles dans les graphiques ci- dessous pour les personnes âgées de 90 ans et plus.Contacts presse : Denis Rancourt : denis.rancourt@gmail.com ; Marine Baudin : marine@jeremie- mercier.com ; Joseph Hickey : jhick059@gmail.com ; Jérémie Mercier : bonjour@jeremie-mercier.com

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Relation exponentielle entre toxicité du vaccin et âge

L’analyse par tranches d’âges de la mortalité excédentaire pendant les périodes de rappel vaccinal montre que le risque de décès par injection (vDFR) des vaccins COVID-19 augmente de manière exponentielle avec l’âge (à partir de 60 ans, avec un temps de dédoublement de 4 ans), est plus important pour les doses avancées (risque plus fort pour les 4ème doses que pour les 3ème doses), et atteint près de 5 % (c’est-à-dire 1 décès pour 20 injections) chez les personnes âgées de 90 ans et plus soumises à une 4ème dose.

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Contacts presse : Denis Rancourt : denis.rancourt@gmail.com ; Marine Baudin : marine@jeremie- mercier.com ; Joseph Hickey : jhick059@gmail.com ; Jérémie Mercier : bonjour@jeremie-mercier.com

Conclusions

Les auteurs ont analysé la mortalité toutes causes confondues de 17 pays équatoriaux et de l’hémisphère sud : Afrique du Sud, Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Suriname, Thaïlande, Uruguay.

Dans tous les pays étudiés :

  • Aucune diminution de la mortalité n’est associée à la vaccination COVID-19.
  • Une transition vers un régime plus élevé de mortalité est observée avec ledéploiement des campagnes de vaccination COVID-19, que ce soit :

o Pour les pays connaissant une mortalité excédentaire avant la vaccination

COVID-19 (8 pays sur 17),
o Pour les pays ne présentant aucune mortalité excédentaire avant la

vaccination COVID-19 (9 pays sur 17).
• Des pics anormaux de mortalité apparaissent en janvier-février 2022, au moment du

déploiement des doses de rappel (3ème et 4ème doses).

Les auteurs estiment la surmortalité observée pendant la période vaccinale à 1 745 000 décès pour les 17 pays étudiés, ce qui correspond à environ 1 décès sur 800 injections.

Les auteurs calculent un taux de létalité par injection du vaccin au niveau national et tous âges confondus variant de 0,02 à 0,2 % selon les pays. Ce taux :

  • augmente de manière exponentielle avec l’âge (à partir de 60 ans et doublant environ tous les 4 ans),
  • est plus élevé pour les doses avancées (risque plus important avec les 4ème doses qu’avec les 3ème doses),
  • atteint près de 5 % chez les personnes âgées de 90 ans et plus soumises à une 4ème dose (ce qui correspond à 1 décès sur 20 personnes injectées).Globalement, la toxicité des vaccins COVID-19 est environ mille fois plus importante que celle rapportée dans les essais cliniques pharmaceutiques, estimée par la pharmacovigilance, calculée à partir de statistiques basées sur les causes de décès, ou communiquée par les institutions de santé.Avec une toxicité élevée et un risque accru de mortalité avec l’âge et le nombre de doses injectées, les auteurs appellent les gouvernements à suspendre les politiques de santé publique priorisant la vaccination COVID-19 des personnes âgées jusqu’à ce que des analyses bénéfice-risque valables dans les populations cibles soient effectuées.
SENTA DEPUYDT
SENTA DEPUYDT
Senta Depuydt, est journaliste et conférencière, diplômée en communications à l’Université Catholique de Louvain en 1992. Après plusieurs années de parcours dans des multinationales, elle interrompt ses activités professionnelles pour se consacrer à sa famille et à l’un de ses enfants qui a régressé vers l’autisme. Grâce à la prise en charge intensive des problèmes médicaux sous-jacents à cette condition, son fils retrouve la santé, la parole et une vie normale. Depuis lors, elle se consacre à l’information de ces nouvelles approches de l’autisme à travers des articles, des conférences et des entretiens particuliers. Elle collabore notamment au magazine Aspiration, seule revue francophone consacrée à l’autisme. En janvier dernier, elle a organisé à Paris le congrès européen ‘sortir de l’autisme: recherches et témoignages de pratiques médicales efficaces’.

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