AccueilActualitésLettre ouverte à M. Dejemeppe, Président de l’Ordre National des Médecins

Lettre ouverte à M. Dejemeppe, Président de l’Ordre National des Médecins

Monsieur Dejemeppe
Président de l’Ordre National des Médecins

Bruxelles, le 7 février 2022

Monsieur Dejemeppe,   

Cette fois j’exige que le Conseil de l’Ordre me reçoive.

L’heure est grave.

Nous avons désormais la preuve que les traitements ambulatoires précoces ont sauvé de très nombreuses vies. Le corollaire veut que du sang souille les mains de ceux qui par votre faute ne les ont pas prescrits ! Nous avons la preuve que la vaccination est inopérante et qu‘elle se complique d’effets secondaires majeurs, sous-estimés, sous-déclarés et même dissimulés. La vaccination de masse comptera parmi les grandes fautes de ce siècle et vous nous en avez rendus complices.

Notre déontologie nous impose d’offrir à nos patients les conseils les plus éclairés, de les informer, de recueillir leur consentement, de respecter leurs choix et de les traiter en fonctions des évidences les plus certaines de la science, le tout avec sympathie et bienveillance. Voilà en deux mots notre serment… ce serment que vous nous avez demandé de trahir. 
Tout médecin consciencieux devait ou aurait dû prendre le contrepied systématique des mesures d’un gouvernement que vous avez pourtant soutenu de toutes vos forces.

C’est la voie que je me suis tracée, notamment :

  • En refusant de fermer mon cabinet quand on me l’a ordonné,
  • En refusant de faire des consultations téléphoniques à 20 €,
  • En prescrivant des traitements ambulatoires précoces quand ils étaient indiqués,
  • En déconseillant la vaccination de masse,
  • En refusant radicalement la vaccination des jeunes et des femmes enceintes,
  • En refusant de me cacher stupidement derrière un masque inutile quand je recevais des patients qui n’étaient pas malades.

Vous auriez dû me soutenir, mais vous avez émis des doutes sur mes prises de positions. Vous aviez tort.

Vous m’avez rappelé que je devais suivre les recommandations de Sciensano. Je vous ai répondu que Sciensano n’avait pas compétence à diriger ma conscience. 
Vous m’avez incité – indirectement – à ne pas prescrire d’hydroxychloroquine. Je vous ai répondu que je le ferais.
Vous m’avez envoyé une circulaire le 23 janvier 2021 pour m’ordonner de faire la promotion de la vaccination. J’ai fait exactement l’inverse. 
Mon propre fils, de nombreux amis et des confrères, par votre faute ont cédé au chantage.
Vous m’avez cité à comparaître devant une commission d’instruction le 18 janvier sur base d’une plainte tragi-comique du Dr Michèle Gérard. Je m’y suis soumis, j’ai déposé à charge. J’attends avec impatience, mais en vain une convocation devant le conseil.

A de nombreuses reprises depuis 16 mois, je vous ai proposé de débattre sereinement de ces sujets. Vous avez décliné mes invitations au motif que les questions que je posais étaient politico-éthiques 
Elles ne l’étaient pas, ne le sont toujours pas et ne le seront jamais. 

J’ai raison et vous avez tort ! 

Vous avez pris un pouvoir qui ne vous est pas destiné. Vous n’êtes à pas à notre tête pour penser à notre place. Vous êtes là pour garantir une bonne administration de la justice et vous en profitez pour violer nos principes les plus sacrés en soutenant les oukases jupitériens de Monsieur Vandenbroucke.
Nous ne renierons pas notre Serment parce que vous êtes aux ordres de l’exécutif. Vous êtes d’ailleurs originairement un magistrat debout. Nous n’en pouvons rien si vous avez été contraint de vous asseoir !

Notre Vice-Président, le docteur Philippe Boxho vient de démissionner alors que c’est vous qui auriez dû partir.
A qui voulez-vous faire croire que ce confrère droit, compétent, acharné à défendre des idées justes, ait pu quitter votre Conseil pour gérer des expertises en retard ? Un homme intègre qui au surplus occupe la plus haute marche du podium ordinal, pouvait-il accepter d’être contraint d’exprimer ses idées sur la vaccination dans les colonnes d’une gazette vespérale et d’être contraint de prendre des précautions oratoires parce que son Président joue les despotes ténébreux ? 

La vérité va rejoindre l’histoire. La vérité rattrape toujours l’histoire. Si j’ai tort, radiez-moi, si j’ai raison, suivez-moi. 

Je suis le porte-parole d’une médecine humaine. Je suis débordé par les patients désespérés de ne plus être écoutés, j’ai tant d’appels que je ne puis pas les suivre. Je suis meurtri et fâché de ne pas pouvoir répondre à tous ces gens désemparés qui m’envoient tant d’appels angoissés… C ’est à vous que je dois cela !

Il est l’heure d’en parler… 

Ma Carrière pour une tribune !

Je vous prie d’agréer, monsieur Dejemeppe, l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Alain Colignon

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